Retard technique de la France

Développement et frontières de la technique



Dans les années quatre-vingt, le consensus entre les ingénieurs était, que la puissance maximale d’une éolienne commerciale sera d'environ 600 KW. Ce seuil était dépassé en 1990. Et ce qui c'est passé à partir de là, était impressionnant.
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Avant, l’éolienne moyenne était d’environ 40 mètres de hauteur, et ça posait déjà des problèmes avec la statique, pour les tours et les générateurs lourds. Malgré le fait que des éoliennes plus grandes étaient effectivement possible à construire, on ne pensait pas, que la technique sera concurrentielle un jour à cause des coûts énormes pour une statique suffisante.


Ça a changé plus tard, avec la présentation de la N80 de Nordex en 2000. Cette éolienne était la première de sa classe avec une puissance de 2,5MW et un rotor avec un diamètre de 80 mètres. Elle imposait des nouveaux standards dans le secteur, et elle provoquait un rallye technique qui continue jusqu'aujourd'hui. Cette génération des éoliennes était premièrement capable de fournir de l'énergie suffisante et assez stable, pour qu'une exploitation commerciale devienne rentable.  

Actuellement on observe que les éoliennes présentées le plus récemment vont arriver avec un rotor de 160 mètres, et des générateurs avec une puissance de plus de 8 Mégawatts, l'équivalent de 13 fois ce qu’on estimait être le maximum en 1990. Ces éoliennes modernes sont plutôt développées pour l’utilisation off-shore, ou on n’est pas confronté par des réglementations concernant la hauteur maximale. Dans le domaine des éoliennes terrestres, il y a actuellement aussi un rallye, mais plus pour la puissance maximale, que pour une efficacité plus élevée.







Le développement sur terre se freinait rapidement après les grands pas au début des années 2000, et créait une convergence vers des turbines optimisées pour l’exploitation des ventes modérées et faibles. La question pertinente sur terre n’est plus la puissance maximale, mais l’efficacité d’un aérogénérateur.
Même si les nouvelles éoliennes, ne semblaient pas si révolutionnaires, avec des puissances presque pareilles mais elles sont beaucoup mieux adaptables aux conditions locales. Pour réussir ces sauts d’efficacité on utilise principalement des rotors plus grands sur des tours d'une hauteur plus grande, pour exploiter les ventes plus stables. Comme ça des nouveaux terroirs, avec des gisements éoliennes peu favorables sont maintenant intéressants comme endroit d’implantation.
E101 Leistungskurve.jpgMais les réglementations pour la construction ne favorisent pas toujours la croissance.
Les éoliennes de la dernière génération sont beaucoup plus efficaces que celles des générations précédentes qui avaient toujours des rotors plus grands que 110 mètres. Ces nouvelles turbines sont capables de produire 150% de l'énergie d’une éolienne de ce type qui est utilisé le plus souvent en France, avec un rotor d’environ 90 mètres.

Ici on France ce problème se pose d’une manière grave. Les tailles réalisées dans les parcs français ne dépassent pas une hauteur maximale de 150 mètres alors que la nouvelle génération des aérogénérateurs a déjà passé ce seuil.



La France a du retard technique par rapport à l’Allemagne ou le Royaume-Uni, où on implante maintenant que des turbines modernes.

Si la France veut réussir ces buts ambitieux pour le développement éolien, il faut que les réglementations concernant la hauteur maximale soient remises en discussion.

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